Jai utilisé en plus deux extraits d’un C’est pas Sorcier sur le cacao." le diaporama utilisé en classe. le livret pour l'élève. C'est pas sorcier : voir les 3 vidéos sur le cacao avec le Réseau Éducation à la citoyenneté et à la solidarité internationale, le réseau pédagogique national du Ministère de l'agriculture et de l'alimentation pour les 3ème, 4ème, 2nde
Cemagazine scientifique présenté par Frédéric COURANT, Jamy GOURMAUD, et Sabine QUINDOU, est consacré à l'agriculture biologique. Résumé documentaire La structure de l'émission est la suivante : En Bretagne : Frédéric COURANT se rend en Bretagne, dans un magasin bio où des agriculteurs vendent leurs productions directement aux consommateurs.
RhumBologne Bio. 45 % vol. 22 euros. Grande et moyenne surface. Rhum. Author Georges. Fondateur de ForGeorges - plus de 1 000 bars testés à travers le monde - prend autant de plaisir à tester un nouveau bar, que déguster un spiritueux ou un verre de vin en bonne compagnie ! Spécialiste de la loi Évin et dénicheur de bonnes idées et
Fichessur "C’est pas sorcier" Des questionnaires sur quelques 114 émissions de cette série culte et magnifique pour la classe. Merci à ceux qui les ont conçus. Ils sont plusieurs et ont partagé leur travail. Thau une lagune fragile Documents joints eau de souce, eau du robinet, PDF, 221 ko La tour Effeil, PDF, 195.5 ko
Vocêestá em: verseau signe d'air / angoisse fin de grossesse / banque de sujet e3c corrigé / questionnaire c'est pas sorcier l'agriculture biologique. 04 jun 2022. questionnaire c'est pas sorcier l'agriculture biologique. accords d'oslo vikidia. citation sur la réalité du roman
LE VIN C'EST PAS SORCIER - Neiman, Ophélie - Livres Le viticulteur catalan Hervé Bizeul, sorcier du Clos des Fées, est le co-auteur, avec le Bourguignon Jean-Yves Bizot, d'un vin exceptionnel produit à 1 200 bouteilles, dont certaines s'échangent 2 500 euros.
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Цըф. YcNd9uV. Chers Amis, Je vous transfère la bonne nouvelle telle que je l’ai reçue de Blanche MAGARINOS, l’avocate spécialisée pour les semences et l’Agriculture Biologique, auprès du Parlement Européen. Je précise que nous pouvons lui rendre hommage, car c’est grâce à ses compétences et à sa ténacité que nous bénéficions de cette avancée fantastique pour les semences et la biodiversité, ainsi qu’à l’équipe extraordinaire de négociation du Rapporteur au Parlement Européen dirigée par Hannès LORENZEN. Pour ceux qui veulent en savoir plus sur les nouvelles dispositions de ce Règlement, et notamment sur les mesures de sauvegarde et de promotion des races animales traditionnelles en voie d’extinction vous pouvez nous contacter pour recevoir le texte in extenso. CORDIALEMENT. Philippe DESBROSSES. Cher Philippe, C’est avec beaucoup de plaisir que je te confirme ce soir que nous avons enfin gagné la partie avec le nouveau règlement européen pour l’agriculture biologique !!! Contre tous les pronostics, le Conseil de l’UE a adopté le compromis final lundi matin, contre la volonté de l’Allemagne, par une majorité qualifiée de 19 Etats membres POUR, 6 Etats membres CONTRE CZ, LT, SK, AT, CY, FI et 3 Etats membres s’abstenant HU, DE, BE. La très bonne surprise s’est expliquée par le fait que la Suède et la Pologne avaient changé d’avis pendant le week-end ! De plus, ce matin, la commission agriculture du Parlement européen a également adopté le compromis final, par 29 voix pour, 11 voix contre et 4 abstentions. Ce nouveau règlement devra encore faire l’objet d’un vote final en séance plénière au Parlement, au mois d’avril, et d’un vote également définitif par les Ministres de l’agriculture des Etats membres, réunis formellement au Conseil. Ces dernières procédures, toutefois, ne sont plus que des formalités. Les décisions ont été prises cette semaine et elles sont favorables !!! Pour mémoire, et sur le sujet qui nous intéresse tout particulièrement, ce nouveau règlement introduit deux nouvelles catégories de variétés» de semences disponibles pour l’agriculture biologique le matériel biologique hétérogène», qui correspond essentiellement aux milliers de variétés traditionnelles actuellement interdites à la vente par l’effet du “catalogue officiel”, et les variétés biologiques adaptées à la production biologique», issues de programmes de création variétale spécifiquement adaptés aux besoins et contraintes de l’agriculture biologique. Le matériel biologique hétérogène » sera dispensé d’inscription au catalogue et de certification technique des lots de semences par le GNIS. Il pourra être mis sur le marché moyennant une simple déclaration préalable, prenant la forme d’un dossier » fournissant une description sommaire des caractéristiques agronomiques et phénotypiques du matériel, à l’administration compétente, qui aura 3 mois pour formuler des observations sur la complétude ou non du dossier. Passé ce délai le dossier sera réputé accepté et le matériel pourra être mis sur le marché. Il est prévu que la Commission adopte un acte délégué visant à fixer des normes minimales de qualité des lots de semences destinés à être placés sur le marché identité du matériel, pureté spécifique, taux de germination et qualité sanitaire, ainsi que des règles d’étiquetage et d’emballage. Quant aux variétés biologiques adaptées à la production biologique», elles pourront être mises sur le marché dans les conditions dérogatoires qui seront fixées ultérieurement par la Commission dans le cadre d’une expérience temporaire » de 7 ans, visant à évaluer les caractéristiques de ces nouvelles variétés et à adapter la législation horizontale sur le commerce des semences en conséquence. Ces catégories nouvelles ne viennent pas remplacer les variétés hybrides F1 actuellement disponibles ; elles s’ajoutent à l’offre actuelle en semences, mais devront être préférées » par les producteurs au moment de faire un choix. Ces dispositions, après 22 ans d’utilisation très répandue de semences non biologiques première obligation introduite en 1995, mais restée largement lettre morte, permettront de répondre mieux aux principes de l’agriculture biologique haut niveau de biodiversité et aux obligations contenues dans le cahier des charges de l’agriculture biologique semences de qualité biologique, mais aussi d’offrir aux agriculteurs bio du matériel beaucoup mieux adapté à leurs besoins agronomiques. Le compromis autorise aussi expressément les agriculteurs bio à produire et utiliser leurs propres semences. Il s’agit donc d’un changement majeur dans la réglementation sur le commerce et l’utilisation des semences, qui ouvre des perspectives fantastiques pour la biodiversité agricole utilisée dans la production biologique, mais aussi, à plus long terme, dans toute l’agriculture. Je me réjouis dors et déjà de voir bientôt ces dispositions nouvelles prendre réalité, très concrètement, sur le terrain, dans nos champs, dans nos assiettes ! Bien amicalement, Blanche PS pour plus de précisions sur les autres changements apportés par le texte nouveau, tu trouveras ci-joint une note synthétique, en français. — ——————————————————- AVIS IMPORTANT Ce message et toutes les pièces jointes sont strictement confidentiels et établis à l’intention exclusive de son ou ses destinataires. Si vous avez reçu ce message par erreur, merci d’en avertir immédiatement l’émetteur et de détruire le message. Toute modification, édition, utilisation ou diffusion non autorisée est interdite. L’émetteur décline toute responsabilité au titre de ce message s’il a été modifié, déformé, falsifié, infecté par un virus ou encore édité ou diffusé sans autorisation. IMPORTANT DISCLAIMER This message and any attachments are strictly confidential and intended for the named addressees only. If you have received this message by error, please notify immediately its sender, then delete the message. Any unauthorized modification, edition, use or dissemination is prohibited. The sender shall not be liable for this message if it has been modified, altered, falsified, infected by a virus or even edited or disseminated without authorization. Les avancées apportées par le compromis final – Extension du champ d’application du règlement de nombreux produits déjà fabriqués biologiquement mais qui ne sont pas encore couverts par le règlement actuel pourront à l’avenir bénéficier du label bio. Il s’agit notamment des animaux de ferme comme les lapins et les cervidés, de toutes les huiles essentielles, de la cire d’abeille, du liège, du maté, de la laine, du coton, du sel, etc. – Des contrôles plus ciblés et plus adaptés aux pratiques des opérateurs, afin de réduire les risques de fraude et les irrégularités les contrôles devront être basés désormais sur une analyse des risques systématique, tout en restant adaptés au secteur de la production biologique, comme cela était demandé par les opérateurs ; ainsi par exemple dans le cas d’irrégularités répétées, les contrôles devront être intensifiés ; le principe du contrôle annuel est maintenu, de même que celui des contrôles inopinés ; si, d’autre part, aucune irrégularité n’est constatée pendant une période de 3 ans, le contrôle physique sur place et seulement lui pourra alors être espacé de 24 mois, à la demande du producteur qui souhaiterait économiser les coûts correspondants. – Application du cahier des charges européen aux produits importés Environ 50% des produits biologiques vendus dans l’UE sont actuellement importés de pays tiers. Jusqu’à 60 normes différentes sont utilisées pour contrôler et certifier ces produits importés. Le compromis prévoit que les normes européennes seront désormais applicables à tous ces produits, avec une période de transition de 5 ans et des dérogations possibles pour des cultures et des climats spécifiques. Il s’agit d’une mesure de simplification, mais aussi d’équité pour les producteurs européens, placés désormais sur un pied d’égalité avec les producteurs étrangers. – Consécration du principe du lien des plantes avec le sol le règlement actuel exclut expressément l’hydroponie, mais pas la production hors-sol, dans des serres, sur des substrats par exemple. C’est désormais le cas. En principe, la production hors-sol est donc exclue. Une exception mineure, toutefois, a été négociée avec les Etats nordiques FI, SE, DK, afin que les investissements déjà engagés dans ces pays-là puissent être amortis, sur une période maximale de 10 ans. – Instauration de mesures de précaution précises afin d’éviter les contaminations des produits bio par des pesticides si les mesures de précaution visant à prévenir la contamination par des substances non autorisées font déjà partie de la réglementation en vigueur, elles sont désormais grandement clarifiées et précisées par le compromis final. Ces mesures[1] ont succédé au concept de seuil de décertification », proposé initialement par la Commission, mais refusé absolument par le secteur bio professionnel de certains Etats membres, dont l’Allemagne et la France. Les autres Etats membres, souhaitant conserver l’application d’un seuil ou en instaurer un, gardent la possibilité de le faire. La Commission est de plus chargée d’enquêter sur les raisons précises de ces contaminations, dans un délai maximal de quatre ans, et de proposer éventuellement de nouvelles solutions législatives, de même que des mesures compensatoires, à l’issue de cette enquête. En attendant, il s’agit d’un bon compromis de transition. – Un meilleur accès aux semences et au matériel de reproduction des plantes adaptés à l’agriculture biologique le nouveau règlement introduit deux nouvelles catégories de variétés» disponibles pour l’agriculture biologique le matériel biologique hétérogène», qui correspond essentiellement aux variétés traditionnelles actuellement interdites à la vente, et les variétés biologiques adaptées à la production biologique», issues de programmes de création variétale spécifiquement adaptés aux besoins et contraintes de l’agriculture biologique. Le matériel biologique hétérogène » pourra être mis sur le marché moyennant une simple déclaration préalable, prenant la forme d’un dossier » présentant les caractéristiques du matériel, à l’administration compétente, qui aura 3 mois pour formuler des observations sur la complétude ou non du dossier. Passé ce délai le dossier sera réputé accepté et le matériel pourra être mis sur le marché. Les variétés biologiques adaptées à la production biologique» pourront être mises sur le marché dans les conditions dérogatoires qui seront fixées par la Commission dans le cadre d’une expérience temporaire » de 7 ans, visant à évaluer les caractéristiques de ces nouvelles variétés et à adapter la législation horizontale sur le commerce des semences en conséquence. Ces catégories nouvelles ne viennent pas remplacer les variétés hybrides F1 actuellement disponibles ; elles s’ajoutent à l’offre actuelle en semences, mais devront être préférées » par les producteurs au moment de faire un choix. Ces dispositions, après 22 ans d’utilisation très répandue de semences non biologiques première obligation introduite en 1995, mais restée largement lettre morte, permettront de répondre mieux aux principes de l’agriculture biologique haut niveau de biodiversité et aux obligations contenues dans le cahier des charges de l’agriculture biologique semences de qualité biologique, mais aussi d’offrir aux agriculteurs bio du matériel beaucoup mieux adapté à leurs besoins agronomiques. Le compromis autorise aussi expressément les agriculteurs bio à produire et utiliser leurs propres semences. – Création d’une base de données pour informer opérateurs et autorités de la disponibilité effective en semences et animaux de qualité biologique, afin d’éviter l’utilisation systématique de leurs équivalents conventionnels L’objectif de cette base de données, mise désormais à la disposition, sans frais, des producteurs de semences et animaux biologiques, est de rendre publique et facilement vérifiable l’offre en ces matériels de qualité biologique. Seule l’insuffisance avérée de ces matériels sur cette base de données pourra désormais justifier l’octroi d’une dérogation pour l’utilisation de semences ou d’animaux conventionnels. – Création des groupes de producteurs » pour améliorer la coopération entre les producteurs et leur permettre de réduire les coûts de la certification actuellement, les groupes de producteurs », qui mutualisent les infrastructures et matériels, ainsi que les coûts de production et de certification, ne sont autorisés que dans les pays tiers, ce qui est injuste et défavorise les producteurs européens. Le compromis actuel propose d’autoriser également ces regroupements pour les petits producteurs de l’UE, pour lesquels le coût de la certification est très lourd. – Des exceptions pour la commercialisation de produits biologiques non emballés les petits magasins ou les producteurs à la ferme devraient désormais être autorisés à vendre des produits biologiques non transformés et non emballés jusqu’à un certain plafond, sans qu’une certification ne soit exigée spécifiquement pour le magasin. Toutefois, les autorités devront être informées de cette activité de vente, par une déclaration préalable simple. [1] Le dispositif prévu est le suivant Les opérateurs doivent prendre toutes les mesures de précaution nécessaires Cela implique une séparation effective des produits bio et des produits non bio L’opérateur doit prendre une série de mesures lorsqu’il suspecte la présence de pesticides et que cette suspicion est substantiated » ou ne peut pas être éliminée séparer le produit, ne pas le placer sur le marché, informer immédiatement l’autorité compétente, collaborer à l’investigation… Quand l’autorité compétente reçoit l’information étayée qu’il y a des pesticides dans un produit bio, est informée par l’opérateur ou détecte de telles substances dans un produit bio ou en conversion – elle déclenche immédiatement une investigation; – elle interdit, à titre provisoire, la mise sur le marché du produit. 4a. Lorsque l’autorité compétente n’est pas parvenue à établir, dans un délai raisonnable, que l’opérateur a soit volontairement utilisé un pesticide fraude soit a échoué à mettre en œuvre les mesures de précaution nécessaires, le produit peut alors être mis sur le marché. Lorsque l’autorité compétente a établi que l’opérateur avait soit volontairement utilisé un pesticide fraude, soit avait échoué à mettre en œuvre les mesures de précaution nécessaires, soit n’avait pas donné de suite à des avertissements ou mises en garde antérieures, le produit ne peut pas être mis sur le marché avec le label bio. Sur la base des résultats de l’investigation, qui doit permettre d’identifier les causes de la présence des pesticides, des mesures correctives doivent être prises afin d’éviter des contamination futures.
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durée 002617 Depuis quelques années, de nombreux consommateurs se tournent vers l’alimentation biologique afin de protéger l’environnement et leur santé. En France, seuls 2% des surfaces cultivées sont biologiques. Le principe de l’agriculture biologique est de ne pas utiliser d’engrais et de pesticides chimiques. Il ne suffit pas de laisser la nature faire son travail… Loin de là ! Engrais verts, rotation des cultures, lutte biologique contre les insectes, l’agriculture biologique est moins polluante mais aussi moins productive que l’agriculture conventionnelle. Fred se rend dans un magasin bio en Bretagne, où les agriculteurs vendent leurs produits directement au consommateur, où les aliments sont vendus sous le label français AB. Il visite également une ferme laitière biologique. Sabine se rend dans le Vaucluse et aide à la récolte des courgettes et des raisins biologiques. Elle se rend ensuite dans les Bouches-du-Rhône, dans un verger de pommiers où est pratiquée la lutte biologique contre les parasites. Nous découvrons l’agriculture intégrée. Le principe est d’intégrer toutes les solutions rotations, lutte biologique…, y compris les engrais chimiques et les pesticides, mais en dernier recours. À l’échelle mondiale, c’est sans doute ce type d’agriculture durable qui pourrait permettre de nourrir la population mondiale.
La chaine officielle de l'émission de France 3. C'est pas sorcier, le magazine de la découverte et de la science. Depuis plusieurs années de nombreux consommateurs se tournent vers les aliments bios, pour préserver l'environnement et leur santé. En France, seules 2% des surfaces cultivées le sont en bio. Le principe du bio consiste à n'utiliser aucun engrais et pesticides chimiques. Pour cela, il ne suffit pas de laisser faire la nature... Loin de là... ! Engrais vert, rotation des cultures, lutte biologique contre les insectes, l'agriculture biologique est moins polluante mais aussi moins productive que l'agriculture conventionnelle. Fred se rend en Bretagne dans un magasin bio, où des agriculteurs vendent directement aux consommateurs leurs productions, où les aliments sont commercialisés sous le label français AB. Il visite également un élevage laitier bio. Sabine de son coté, part dans le Vaucluse et participe à la récolte des courgettes et du raisin bio. Puis elle se rend dans les Bouches-du-Rhône, dans un verger de pomme où est pratiquée la lutte biologique. On découvre l'agriculture intégrée. Son principe est d'intégrer toutes les solutions rotations, lutte biologique... y compris les engrais et les pesticides chimiques, mais en dernier recours. A l'échelle mondiale, c'est sans doute ce type d'agriculture durable qui pourrait permettre de nourrir la population mondiale. Voir plus sur C'est pas sorcier
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